Priorité 2 : La sécurité alimentaire via le développement économique durable de l’aquaculture et des marchés
Espace de débat dédié à la priorité 2
Encourager une consommation responsable du poisson
Aujourd’hui le poisson est devenu un produit de luxe et à mon sens une personne qui habite en ville ou loin de la côte, n’a pas besoin de se nourrir de poissons ou de crustacés, (sauf pour des raisons médicales à la limite). Nous ne pouvons plus considérer comme essentiel, l’accès aux produits de la mer, en sachant que les ressources sont très limitées et que quasiment toutes les espèces sont en état de sur-pêche ou en mauvais état de conservation.
L’aquaculture ne devrait pas être une solution de remplacement du poissons de pêche. En effet, l’aquaculture est source de pollution et de prolifération de parasites et de bactéries qui peuvent nuire aux animaux sauvages.
L’aquaculture représente également une menace aux poissons sauvages puisque chaque année, on estime qu’au moins 700 milliard de poissons sauvages sont utilisés pour l’alimentation des animaux aquatiques d’élevage. Si l’aquaculture est privilégiée, il serait donc impératif de trouver une forme de nourrissage plus durable. Si rien n’est fait, il n’y aura plus de poissons dans la mer d’ici vingt ans.
Réponse :
La révision du plan national stratégique aquacole (PSNDA) a pour objectif de disposer d'une nouvelle stratégie aquacole, davantage co-construite, portée, partagée et valorisée par toutes les parties prenantes, tant les professionnels que les pouvoirs publics L’actualisation de ce plan stratégique servira notamment à justifier la manière de soutenir l’aquaculture via le futur FEAMPA, notamment la pisciculture d'étang.
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1 commentaire
700 milliards, le chiffre est impressionnant. A suivre de près donc ce futur FEAMPA.
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